Si cette flamme venait à s'éteindre,

Est-ce que ta vie est à craindre,

Veux tu avoir de meilleur lendemain ,

Alors que le ciel noir fait son apparition ,

Il vaudrait que je rentre vite à la maison,

Mais que faire dans ce monde si hostile,

Je vois bien que tu t'ennuies ,

Et que ta vie est pleine de mépris,

Où vas tu si vite ,

Tu vas rejoindre ton ami,

Celui que tu dis a une vie bien paisible ,

Mais si tes matins sont si pénibles,

Pourquoi ne cherches tu pas un loisir,

Toi qui a un cœur sensible,

Et tu viens me dire que tout se resserre ,

Et que plus rien ne t'appartient ,

Et que ta vie t'indiffère ,

Et que tu ne sers plus à rien ,

Donc plus rien n'a d'intérêt ,

Et quand permanence le néant est attaché ,

Il va falloir te contrôler ,

Ou préfères tu que je vienne te surveiller ,

Je vais te susurrer à l'oreille  ,

Un truc pour ne pas commettre l'irréparable ,

Car ta situation n'est pas très convenable ,

Je sais que tu es capable ,

Et que si je ne viens pas t'avertir ,

De te tenir tranquille ,

Ta vie est en équilibre ,

Elle ne tient plus qu'a un fil ,

Et si celui si vient se rompre ,

De suite tu sombres ,

Attends une seconde j'arrive  …………..

Cette pluie qui nous menace,

Vient de s'abattre sur notre territoire ,

Et depuis hier que d'alarme ,

En évidence des drames,

Et c'est encore l'angoisse,

Et je suis prisonnière de ce stress ,

C'est lamentable ,

Et soudain un poison s'échappe ,

Et il trouve sa place ,

Dans le fond du soupirail,

Mais le soleil vient de réapparaitre ,

C'est depuis une vraie merveille,

La mer se déchaîne ,

De nouveau en alerte ,

Ceci me gêne et me vexe ,

Je ne peux naviguer sur cette méditerranée ,

Elle montre sa colère ,

Et tout le reste s'enchaîne ,

Demain sera un jour meilleur ,

Et je ne vais pas voir ailleurs,

Car le monde a certainement des douleurs,

Et cette muraille de la peur ,

Va enfin connaitre le bonheur …….

Cette plume qui vole au vent,

C'est assez surprenant ,

Et sans se reposer un instant ,

Elle va s'arrêter sûrement,

Et cette bourrasque qui la brusque à présent,

Ce n'est pas le silence,

C'est un peu révoltant,

Elle qui pensait voler librement,

La voila face à ce vent,

Un contre courant c'est agaçant  ,

Mais pour cette plume c'est déprimant ,

Et son esprit la torture ne rigolant ,

Ça devient énervant ,

Il va falloir agir maintenant ,

Et assez rapidement ,

Car son cœur bat doucement ,

Et c'est plutôt alarmant ,

Oui mais le plume ne vole plus au gré du vent,

C'est terminé soudainement ,

Chut ! il en a plus pour très longtemps …………...

Tu étais un diamant brut dans ma vie,

Qui me surveillait la nuit ,

Tu étais un des plus beau cadeau de ma vie

Tu as bien changé depuis ,

Tu es invisible ,

Même pas crédible,

Depuis que nos chemins se sont croisés

Avant tu me comblais ,

Je flottais dans un océan d'orchidées

Maintenant je flotte sur les épines ,

En fait je ne suis plus rien même dans

tes pensées ?

Maintenant je suis à cours d'idées

Ce qui peut parfois arriver

Mais là ça dure depuis une éternité !

Je suis hélas très attristée ,

Tu me faisais oublier ce qui m'a tant déchirée

En plus j'ai le cœur brisé ,

Je n'arrête pas de penser

Je vais boire pour oublier ,

Car j'avais atteins mon objectif me surpasser

Mais maintenant je suis pourchassée ,

Je suis anéantie

Car je voulais finir ma vie ,

Ce n'est plus facile de vivre ,Je m'épuise ........


 



PHOTOS DE LYBIL BER

Comme une personne qui vient de se perdre

dans cette vallée profonde !

Loin du chemin ,d'orée et d'adresse des gens

Comme un qui en mer grosse d'horribles vents

Se voit presque engloutir des grandes vagues de l'onde

Ravie de voir cette clarté j'avais tout perdu depuis longtemps

Voie , route lumière et presque avec le sens

Et mon heure commence à se fondre

Ce bien présent plus grand que son mal on vient croire

Moi donc qui ai tout tel en votre absence été

Mais j'oublie en voyant votre clarté

Est-ce déjà l'heure

L'heure de demain

La terre ou la mer glissent dans le temps

Roule doucement au fil du temps

Où cette blancheur de tempe

Où la maison perdue

Où un sol ne se dérobant pas

Les pas d'aujourd'hui

La conspiration du matin

Tisse dans le silence

La voie sans fin

Les musiques de l'enfance

Se sont -elles jamais tues

De l'autre côté du monde

Je sens comme une amertume

Avec au loin une ombre qui s'efface ............

PHOTOS DE ÉRIC BODIN